Catégories : Rencontres BDSM
il y a 6 ans
J’ai fais ça connaissance sur une site de rencontre classique. Je n’ai jamais cru à ce genre de méthode mais je me suis laissé tenté.
Comme dans la plupart des sites de ce genre, les femmes ont un accès gratuit mais les hommes doivent payer un abonnement. Mais sur celui-ci une semaine était offerte pour les nouveaux inscrits. J’ai donc profité de l’occasion.
Mon inscription achevée, je m’en vais vaquer à mes occupations, puis revient sur le site jeter un œil.
Je constate la présence d’un message provenant d’une certaine Lucille. Son profil indique qu’elle est de la région Parisienne. Curieux de savoir pourquoi elle me contacte je m’empresse de lire son message. Elle me dit être en correspondance dans ma ville et avoir un trou de deux heures avant son prochain train.
Elle me laisse son snapchat et me dis que si je veux la rencontrer devant un verre, je n’ai qu’à lui envoyer un message depuis la gare. Je m’exécute et reçois une réponse immédiate. Elle m’attends dans le bar juste de l’autre côté de la route.
Je m’approche doucement et voit une femme me faire signe de la main. Je m’approche de la table. Elle se lève et me fais la bise.
« - Bonjour, j’avais peur que tu ne viennes pas. » Puis elle se rassied à sa place.
Je prends place devant elle.
« - J’avoue que j’ai hésité à venir. J’ai pensé à un faux profil. »
Elle me souris.
« - J’espère que maintenant je suis assez réelle pour toi. »
« - Bien sûr. »
Il faut dire qu’elle était vraiment magnifique. Elle devait mesurer 1m75, mais avec ses talons elle dépassait mon mètre soixante dix neuf. Elle était mince avec juste ce qu’il fallait de formes au niveau de ses fesses pour mouler parfaitement son pantalon. Et une poitrine opulente, que laisse deviner son pull en laine. Elle a la peau très pale, avec les cheveux noirs très foncés qui lui tombent de chaque côté du visage, et viennent se poser sur ses épaules. Sa bouche pulpeuse, recouverte de maquillage noir faisait un parfait contraste avec la blancheur de sa peau. Et ses yeux gris verts faisaient ressortaient également et m’empêchaient de regarder ailleurs qu’à l’intérieur.
Elle reprend la parole :
« - J’espère ne pas t’avoir dérangé avec mon message. J’ai pensé que c’était une bonne occasion de faire connaissance. Et qui sait, peut être aurions nous envie de nous revoir. »
L’heure passée avec elle m’a semblé filer en quelques minutes.
Vint l’heure de son départ. Je la raccompagne jusque sur le quai de son train. Le temps est assez humide et le sol du quai plutôt glissant. Arrivés proche devant son wagon elle me remercie et s’approche de moi pour me faire la bises.
Son pied glisse et elle atterrit dans mes bras. Je sens la chaleur de son corps et les formes de sa poitrine contre moi. Elle se redresse et me regarde fixement. Je sens sa main se poser sur ma joue, puis ses lèvres effleurer les miennes avant de se poser contre elles. Puis elle monte dans son train en me laissant un autre merci.
Je vois son train partir avec encore le goût de ses lèvres sur les miennes et le souvenir de son corps contre mon corps.
La voyant s’éloigner, je me surprends à espérer la revoir un jour. Mais je n’en caresse pas l’espoir et me résigne à n’en garder qu’un merveilleux souvenir.
Quelques semaines passent. Je garde le souvenir de Lucille mais n’espère pas la revoir. Je vis avec ce doux souvenir jusqu’au jour où je reçois un snap de sa part.
« Bonjour c’est Lucille. Je viens de rentrer de voyage et je vais passer une semaine chez moi avant de repartir. J’habite dans une maison à la campagne dans la grande couronne parisienne. Si tu veux bien on pourrait se revoir chez moi. Je viens de t’envoyer l’adresse. »
Je saute de joie et réponds par l’affirmative. Nous continuons nos échanges jusqu’à mon arrivée en train sur Paris. Elle m’a envoyé la ligne de rer et l’arrêt où descendre. Je m’exécute et j’ai l’agréable surprise de la voir m’attendre à la sortie de la gare.
Si lors de notre précédente rencontre sa tenue laissait deviner ses atours, cette fois, sa tenue les expose pour mon plus grand plaisir. Une jupe en vinyle noir lui arrivant jusqu’à mi cuisse, un chemisier blanc, laissant apparaître un début de soutien gorge noir, dont on devine les contours à travers le tissu blanc.
« Merci d’être venu. J’avais peur que tu m’aies oubliée. »
« Ce serait impossible. Comment aurais-je pu t’oublier ? »
Je le vois rougie légèrement :
« Merci. C’est gentil. »
Nous montons dans sa voiture, et la commençons à rouler.
Le véhicule roule parmi les habitations puis se retrouve très rapidement dans un espace entièrement découvert. Succession de champs, de bois, et de pâturages. Je ne pensais pas voir un tel paysage si près de Paris.
Environ 25 à 30 minutes plus tard, elle s’engage dans un chemin entre deux champs. Un quart d’heure plus tard nous arrivons devant une maison en pierre, de plein pied. D’une très grande taille. Un bois se trouve juste derrière et une grange, ou un étable se trouve une centaine de mètres derrière la maison, accolé au bois. Elle pousse la porte et m’invite à entrer :
« Bienvenu chez moi. Va t’asseoir sur le canapé, je vais cherche quelques chose à boire. »
Je vais m’installer et elle m’emboîte le pas à quelques minutes d’intervalle, une bouteille à la main.
« J’espère que tu aimes le champagne. »
Elle pose une flûte, juste devant moi et me sers. Elle se sert ensuite. Je fais glisser la moitié du liquide dans ma bouche. Il est vraiment bon. Je repose mon verre à moitié vide à côté de son verre plein. Elle s’assied près de moi et se rapproche pour mieux discuter.
Je sens l’excitation monter en moi. De me mémoire, je n’ai pas souvenir d’avoir un jour autant désiré une femme. Chacun de ses mots, chacune de ses phrases sonnent à mes oreilles comme une douce mélodie.
Chaque fois qu’elle décroise ses jambes et les recroise, je ne peux m’empêcher de fixer ses jambes magnifiques. Descendre jusque sur ses pieds posés dans de belles chaussures ouvertes noirs, avec des talons d’au moins 10 centimètres.
Chaque mouvement de ses lèvres laissant entrevoir le bout de sa langue fait monter en moi le désirs ardent d’y poser les miennes. Je ne sais pas si c’est une impression ou si c’est la réalité, mais j’ai la sensation de la voir se rapprocher petit à petit de moi. Elle me raconte son voyage, m’explique qu’elle pensait de temps en temps à moi.
Elle pose sa main sur ma cuisse. Un frisson de plaisir parcours tout mon corps. Je saisis mon verre et le vide entièrement avant de le reposer à côté de son verre plein.
J’aurais du boire plus lentement. Le sons de sa voix commence à ressembler à un écho lointain et les contours de son visage me paraissent de moins en moins net. La sentir si proche de moi, me fait ressentir de plus en plus fébrile. Comme si je perdais le contrôle de mon corps.
Elle se rapproche de moi comme pour m’embrasser. Mais tout à coup, je sombre dans les ténèbres et le son finit par disparaître. La dernière sensation que je ressens est le contact de ma tête tombant sur son épaule. Puis plus rien……
Je ne sais pas combien de temps je suis resté inconscient. Mais je suis réveillé par des voix lointaines. Je réalise rapidement qu’un bandeau me recouvre les yeux. Je suis dans le noir total. Et dans l’incapacité de parler. J’ai la bouche grande ouverte, bloquée dans cette position par un objet métallique. J’essaye de le retirer mais chacun de mes poignet sont attachés à la cheville correspondante. Il me semble également être nu sur une couverture ou un matelas très usé me laissant ressentir le sol froid.
Les voix semble se rapprocher. J’entends une porte s’ouvrir :
- « Attendez une minute. »
Je reconnais sa voix. Elle soulève légèrement le bandeau et je vois son visage juste devant le mien. Elle tient mon visage entre ses mains pour m’empêcher de regarder autour de moi. Une lumière vive se situe juste au dessus d’elle. Le passage du noir à la lumière me brûle légèrement les yeux.
- « Je suis sûre que tu t’imaginais à l’avance tout ce que nous aurions pu faire ensemble. Mais tu vas vite te rendre compte que peu importe les idées perverses que tu as pu avoir. Je serais toujours plus perverse que toi. Je vais faire de toi ma pute. »
Elle recouvre mes yeux.
-
« J’ai hâte de voir ça. Je suis sûre que le spectacle sera des plus plaisants. »
-
« C’est bon, il est prêt. Vous pouvez venir. Comme je vous l’ai dit, il est à vous. Tenez pas compte de ses bruits de pute. C’est moi qui décide. Lui, il espère…. Que je prenne MA décision d’arrêter. »
En entendant ces mots je tente de hurler mais, la bouche grande ouverte et un objet pour l’écarter, un son inaudible s’échappe de ma gorge. Je sens une main se saisir de mes cheveux.
- « Une bouche de pute. Un cul de pute. Je vais pas me faire prier. »
Je sens quelque chose entrer dans ma bouche. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que c’est sa queue. D’abord mole, elle ne prends² que quelques secondes à durcir et grandir pour rapidement remplir entièrement ma bouche. Elle devient rapidement humide. Je ne me souviens pas avoir déjà ressentis autant de dégoût. Que ce soit sa mouille ou ma salive j’ai la bouche de plus en plus humide. Plus l’excitation monte en lui, plus il force les va et viens. De plus en plus rapides. De plus en plus profonds. Le dégoût, la nausée. j’essaye de résister mais je suis complètement immobilisé. Totalement impuissant.
Il se retire de ma bouche sans jouir. Je me sens soulagé…… Belle erreur.
Il me retourne et je sens son gland se poser contre mon anus et commencer à f o r c e r. Il aurait pu commencer en douceur avec un doigt. J’aurais eu mal mais ça serait resté une forme de pitié. Mais il n’en ai rien.. Je sens mon anus s’écarter devant la pression. Il entre doucement mais sans s’arrêter jusqu’à être entièrement en moi. Puis s’arrête. Ce corps étranger en moi me fais horriblement mal. Mais ça reste encore supportable. Je le sens se retirer doucement jusqu’à ce que seul son gland soit en moi. Je sens la délivrance arriver. Plus que son gland à sortir. L’espoir commence à renaître mais son mouvement s’arrête, puis repart dans l’autre sens. Le gland s’enfonce de nouveau, et ainsi commencent des vas et vient lents. Je suis incapable de savoir si le plus insupportable est l’humiliation et le dégoût profond de sentir un homme en moi, ou la douleur que cela me fait ressentir. La douleur de la dilatation est une chose, mais rien comparé à la douleur de la brûlure du frottement contre les parois de mon anus. Je supplie, je pleure. Mais mes mots ne sont que des sons incompréhensibles sortant d’une bouche immobilisée.
- « Il est serré, c’est trop bon. Son cul est un vrai plaisir. »
Au même moment je sens une autre main saisir ma tête. Une seconde queue entre dans ma bouche, elle est mole mais l’excitation du spectacle offert par l’autre homme en train de me baiser, le fait déjà mouiller abondamment. Son sexe durcit plus vite que le premier.
-
« Sa bouche est bien bonne mais je veux vite essayer son cul. »
-
« Viens ici, je vais retourner dans sa bouche. J’en peux plus tellement c’est bon. »
La queue de ma bouche se retire. Ainsi que celle de mon cul. Quelques secondes plus tard les deux queues échangent leurs places.
La première étaient douloureuse. Heureusement la seconde, plus fine était une douleur moins intense mais toujours insupportable. Un mal moindre, mais toujours un mal.
Je sens la queue revenue dans ma bouche après avoir été bien excitée par mon cul tendue à l’extrême. De plus en plus humide. Je l’entends pousser des gémissement de plus en plus fort. Il est de plus en plus brutal avec ma bouche, et f o r c e de plus en plus ses vas et vient. Puis s’immobilise dans un long gémissement. Je sens alors un torrent immonde se déverser en moi. Une partie ressort par les quelques interstices entre mes lèvres et sa queue, une partie un peu plus importante coule dans ma gorge et la plus grande quantité s’accumule dans mes joues.
Il se retire et je recrache tout ce que je peux dans une forte quinte de toux.
J’ai envie de vomir. J’avais imaginé le sperme vraiment infecte. Mais j’étais encore loin du compte. Je le sens essuyer son gland dans mes cheveux. Le spectacle a grandement excité le second qui s’affaire de plus belle dans mon cul. Les larmes coulent de mes yeux, le sperme de ma bouche. Et je sens enfin la queue se retirer et s’enfourner rapidement dans ma bouche pour y faire des vas et vient. Son foutre jaillit mais il continue quelques instant ses aller-retour.
- « C’était vraiment le pied. Un bon cul de pute. Une bonne bouche de pute. Et une gorge à sperme. Je vais vous faire une très bonne pub. »
J’entends de nouveau la voix Lucille. Elle a tout regardé pour n’en perdre aucune miette.
- « C’était un plaisir à regarder. Bonne fin de journée à tous les deux. »
Je la sens s’approcher de moi. Je suis en pleur. L’odeur, et le goût du sperme ajouté au dégoût de tout ce qui vient de se passer, je vomis d’un coup tout ce que je peux.
- « C’est pas gentil de dégueulasser mon planché. »
Je l’entends aller au bout de la pièce puis se saisir de quelques choses. Je sens soudain un puissant jet d’eau m’arroser et nettoyer la zone où je me trouve. L’eau est gelée. Je grelotte. Une fois le rinçage terminé, j’entends qu’elle s’immobilise près de moi.
CLAC, CLAC, CLAC
Je sens sa main s’abattre trois fois violemment sur mes fesses dans une succession de claquement forts et douloureux. Puis je sens sa main saisir mes cheveux et écraser mon visage contre le sol.
- « Si tu penses que vomir ou pleurer peut faire naître en moi une quelconque once de pitié, tu te trompes complètement. »
Je l’entends sortir. Je reste sur le sol, désespéré mais rassuré que ce soit fini. Je ne sais pas quand elle me libérera mais j’espère vraiment que ça ne tardera pas.
J’entends de nouveau la porte s’ouvrir. Une lueur d’espoir renaît en moi. Immédiatement étouffée par d’autres pas la suivant. Je l’entends déplier une feuille de papier.
- « C’est parfait, posez le supplément dans l’urne et faite vous plaisir. Je vais préciser aux futurs acheteurs. Peut être que d’autres serez également intéressés. Pour la première fois ce sera un tarif groupé. Je serai assise sur la chaise ici. Je ne veux rien rater et j’espère bien que vous ne me décevrez pas. Je vous ai fait un tarif préférentiel dans ce but. »
Je sens une main me saisir par les cheveux et me tirer. Je ne pensais pas qu’une telle puissance puisse être possible. Je sens une queue énorme déjà dure entrer dans ma bouche sans retenue, d’un coup ferme, v i o l e m m e n t jusque dans ma gorge. j’ai un spasme mais il n’y prête pas attention et force ma tête à faire des vas et viens. Il tape dans ma gorge ajoutant au dégoût la douleur et la suffocation.
Dans un même temps, je sens deux mains se saisir de mes fesses et les écarter avec une telle v i o l e n c e que j’aurais cru chacune d’elles s’arracher. J’entends un raclement de gorge puis un crachat venant se poser sur mon anus avant qu’un gland épais ne s’enfonce entièrement en moi sans la moindre retenu. d’un coup sec et puissant provocant un sursaut de douleur et ce qui aurait été un hurlement si je n’avais pas eu la gorge rempli par une queue énorme.
Je comprends alors la nature du document lu par Lucille et la raison du supplément. Je me fais baiser sans capote. Le supplément étant pour le groupe, je suppose qu’aucun ne sera protégé et le document était un test de dépistage négatif.
Je ne sais si le pilonnage simultané de mon cul et de ma gorge durent quelques secondes ou des dizaines de minutes mais je sens leurs torrents se déverser quasiment en simultanée en moi.
Je tousse, je sens du sperme couler dans ma gorge et de ma bouche sur moi. J’en sens également qui coule de mon anus mais il ne suffit que de quelques secondes pour que deux autres queues entre en moi avec autant de vigueur et de frénésie. Au milieu de toute cette v i o l e n c e, j’entends à côté de moi des personnes se masturber. Tous les sons semblent venir de ma droite. Je sens de temps en temps des jets de foutre m’arroser. Je ne sais combien de temps cela dure. Je sens ma conscience me quitter petit à petit quand la quatrième queue me ramone le cul et que la troisième se vide dans ma bouche.
Je reprends conscience sans cagoule. Lucille assise devant moi et me fixe avec un sourire froid du haut de sa chaise. La pièce est pavé de carrelage sur le sol incurvé vers une grille d’évacuation et sur environ un mettre sur les murs. Je suis toujours attaché, le corps poisseux, je ne sais combien d’éjaculation j’ai pu recevoir sur le corps mais j’ai réellement l’impression d’avoir été baigné dedans. La douleur est réellement insupportable et je sens encore du liquide couler de mon anus.
Ma tête est posé sur une flaque de vomi. De la biles mélangé au sperme que j’ai pu recevoir. Le goût dans ma bouche, mélange acide de ce qui fut mon contenu gastrique et du goût infâme du sperme me donnent un haut le cœur et me provoque de v i o l e n t spasme qui auraient pu purger mon estomac s’il n’était pas déjà vide.
Elle se saisi une nouvelle fois de son tuyau et me rince entièrement. Puis me détache une main.
- « Signe moi ce document. Tu n’as pas besoin de le lire. En résumé c’est un consentement de ta part de m’abandonner ta liberté. Tu signes et tu m’appartiens. Tu me donnes tous les droits sur ton corps et l’usage que j’en fait. »
Elle pose une tablette devant mes yeux et lance la vidéo. Je me vois couché sur le sol et assister à mon réveil et revis les premiers moments de ma captivité, le premier viol. Des larmes coulent de nouveau sur mes joues.
Elle avance la vidéo. Je vois qu’elle passe près de 4 heures de vidéos pour s’arrêter à un instant où je suis couché sur le sol, inconscient mais toujours en larme, en train de me faire baiser, avec en arc de cercle à mes côtés au moins une dizaines d’hommes cagoulés. Le dernier en train de me baiser pousse un gémissement et se retire avant de quitter la salle.
La caméra avance se porte sur mon corps pour détailler la quantité impressionnante de sperme me recouvrant, puis descend sur mon cul et montre le sperme coulant de mon anus, dans un filet continue mélangé à une légère quantité de sang, lui donnant une couleur rosatre. Et termine par remonter sur mon visage cagoulé baignant dans ma flaque de bile et de sperme dans laquelle j’ai repris conscience. Je vous la main de Lucille saisir la cagoule et me l’arracher, laissant ainsi apparaître mon visage qui retombe dans le mélange recouvrant le sol sous ma joue.
- « Comme vous avez pu le voir j’ai trouvé une bonne pute. Son cul et sa bouche sont une parfaite source de plaisir. J’attends que vous preniez contact avec moi pour plus de renseignements. »
Elle coupe la vidéo.
- « Deux possibilités s’offrent à toi. Premièrement, tu refuses de signer, tu repars et si tu vas parler de ça à quelqu’un, je diffuse cette vidéo dans son intégralité en y ajoutant ton nom et tous les renseignements te concernant. Deuxièmement, tu signes. Je garde cette vidéo dans un coin si jamais tu décides de ne pas honorer le contrat ou si tu en parles à quelqu’un. Je fais un petit montage avec les morceaux où tu es cagoulé afin de trouver de la clientèle. Tu me donnes tes disponibilités au fur et à mesure que tu les connais. Et tu me laisses vendre ton cul et ta bouche comme je le souhaite, tant que je ne décide pas que tu as assez œuvré pour moi. Quel est ton choix ? »
D’une voix douloureuse du au matraquage des queues qui se sont succéder dans ma gorge je réponds :
-
« Je signe. »
-
« Qui ? »
-
« Je signe,...Maîtresse. »
-
« Très bien. Je garde tout ça de côté. »
Elle me regarde avec un sourire démonique.
- « Ici commence une très longue collaboration qui me sera très fructueuse. »
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